PSG : Après Beckham, maintenant Malouda ?

Florent Malouda dans le viseur du PSG ? L’international français, qui reste la plupart sur le banc avec Chelsea, pourrait rejoindre le Paris Saint-Germain lors du mercato d’hiver. Selon le Parisien, il serait intéressé de retrouver son ancien entraîneur Carlo Ancelotti maintenant en charge de l’équipe parisienne.

Alors Florent Malouda sera-t-il à Paris en janvier ? Les rumeurs vont bon train et se font de plus en plus insistantes. Rarement titulaire avec Chelsea, Florent Malouda n’est plus à sa place dans le club anglais. Andre Villas Boas ne l’a titularisé qu’une fois lors des neuf derniers matchs. Le Français ne se satisfait pas de cette situation : « Mon temps de jeu est trop limité par rapport à mes ambitions, a-t-il dit au micro de Canal +. Je ne peux pas me contenter de ça. S’il faut partir, je partirai. »

Une déclaration qui pourrait intéresser le PSG. Même si le club possède déjà l’excellent brésilien Nênê, l’arrivée de Malouda pourrait être étudiée, car Carlo Ancelotti le connait bien et l’apprécie. Pour le Français, obtenir du temps de jeu au PSG lui permettrait de se positionner en vue de l’Euro 2012, que la France disputera en Pologne et Ukraine. Reste à se mettre d’accord sur les conditions du transfert pour que Florent Malouda porte les couleurs du PSG dès cet hiver.

Si cette arrivée est très plausible, c’est aussi parce que Chelsea, qui mise désormais sur l’Espagnol Mata pour son côté gauche, ne devrait pas demander une somme astronomique pour un joueur de son âge, en contrat jusqu’en juin 2013 et qui n’entre plus dans les plans. Son salaire actuel (500 000 euros bruts) ne sera pas non plus un frein pour les dirigeants parisiens. Reste à savoir si Malouda aura effectivement sa chance plus régulièrement sur le terrain. A gauche, Nênê apparait comme l’un des incontournables du leader de Ligue 1. L’international tricolore (73 sélections) pourrait donc jouer le rôle de doublure de luxe du Brésilien, comme David Beckham le serait pour Jérémy Menez à droite. A moins d’une réorganisation tactique plus profonde qui n’est pas à exclure.