Valérie Trierweiler : sa côte de popularité s’effondre.

Définitivement, la première compagne de France n’est pas dans le coeur de ses compatriotes. Entre gaffes, jalousie et ambition professionnelle affichée, le désamour entre Valérie Trierweiler et le pays s’installe.

On a beaucoup taclé la précédente locataire de l’Elysée, Carla Bruni-Sarkozy… mais Valérie Trierweiler frappe fort, elle aussi.

Après seulement quatre mois rue du Faubourg Saint-Honoré, sa côte d’amour avec les français est au plus bas. Il faut dire qu’elle partait déjà avec un handicap, elle, la femme qui avait accéléré la rupture entre François Hollande et Ségolène Royal…

Avant même l’élection de son compagnon, le comportement jaloux de Valérie Trierweiler envers la présidente de la région Poitou-Charente a agacé de nombreux français : l’affaire du tweet de soutien à Olivier Falorni en a été le point d’orgue.

Hier à l’ONU, François Hollande a soigneusement évité son ex-compagne présente dans un couloir, omettant même de la saluer… Il y a fort à parier que cette goujaterie du président, commentée par tous les médias, a été motivée par la jalousie de madame Trierweiler.

Autre soucis : le comportement de la première dame de France. Ses relations avec la rédaction de Paris-Match, pour laquelle elle travaille toujours, seraient particulièrement tendues. La journaliste n’y mettrait plus les pieds, et aurait demandé à une secrétaire de faire ses cartons. Une attitude supérieure qui n’a pas plu à ses collègues…

Dans un pays où toutes les informations circulent rapidement, les écarts de Valérie Trierweiler ont vite fait de la rendre antipathique aux yeux des français.

 


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