Valérie Trierweiler : elle regrette officiellement son tweet de soutien à Olivier Falorni.

Son tweet malheureux lui aura été reproché sans cesse depuis le mois de juillet 2012. Ces quelques mots de soutien à Olivier Falorni, candidat opposé à Ségolène Royal à la Rochelle pour les législatives, avaient semé l’embarras dans le camp présidentiel. La première compagne de France s’est exprimée sur cette affaire.

Valérie Trierweiler a choisi Ouest-France pour s’expliquer à propos du tweet le plus célèbre de l’hexagone. « Je n’avais pas encore réalisé que je n’étais plus seulement une simple citoyenne (…), cela ne se reproduira pas. »

Son statut de compagne de chef de l’Etat lui impose en effet un certain devoir de réserve, et l’obligation d’évaluer précisément le poids de ses propos.

La première girlfriend de France, journaliste de métier, n’a en revanche toujours pas saisi l’emballement médiatique qu’a engendré cet incident : « Certains journalistes reconnaissent aujourd’hui en avoir beaucoup trop fait. » a-t-elle par ailleurs précisé.

La situation avait pris des proportions inattendues, les journalistes s’interrogeant sur le caractère de Valérie Trierweiler et sa jalousie envahissante pour Ségolène Royal.

Certains avaient même parié sur la fin du couple présidentiel : François Hollande, qui s’était évertué à donner l’image d’un président normal, s’était retrouvé dans une polémique qui le dépassait et rappelait son prédécesseur très médiatique, Nicolas Sarkozy.

 


« »

© 2024 Planete Campus. Tous droits réservés