Affaire Merah : la faillite des services secrets
Le journal Le Monde a eu accès aux notes de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) au sujet de Mohamed Merah, il en ressort que l’affaire est un incroyable échec pour les services secrets.
Les notes de la DCRI démontrent que les services, qui savaient tout du profil « inquiétant » de Merah, ont inexplicablement arrêté de le surveiller fin 2011, quatre mois seulement avant la vague d’assassinats de Toulouse et de Montauban, au moment où Merah commençait les préparatifs de ses crimes.
La DCRI ont même envisagé de le recruter en tant qu’informateur, alors que des rapports précédents parlaient de comportement «inquiétant» et «violent» et montraient des contacts avec des extrémistes religieux.
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