Sans culotte, elle dévoile ses charmes au Premier ministre serbe !

Les journalistes serbes n’ont pas froid aux yeux… ni ailleurs. C’est ce que nous prouve la sulfureuse Branka Knezevic, une ancienne Playmate devenue journaliste pour la version serbe de l’émission « Surprise sur prise », en dévoilant ostensiblement ses charmes au Premier ministre de la Serbie… Qui passera du rire (de plaisir) aux larmes (de colère).

La scène s’est déroulée dans l’émission serbe « (Pas) Mission impossible » (« Ne Nemoguća misija ») fin janvier. Le leader du Gouvernement serbe – l’équivalent de notre Premier ministre – Ivica Dacic, invité du show (chaud), répond aux questions apparemment sérieuses d’une journaliste sulfureuse. Vêtue d’une robe moulante opalescente et d’une paire d’escarpins escarpés, l’animatrice s’improvise en Sharon Stone dans Basic Instinct, en écartant brusquement, mais consciemment ses jambes, révélant ainsi au vieil apparatchik son désamour des sous-vêtements. Car la journaliste (culottée) ne porte pas de culotte.

Découvrez le décroisement de jambes ci-dessous :

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Si le dindon de la farce cathodique, Ivica Dacic, commence par esquisser un sourire (gène ou plaisir), il s’estompe rapidement pour laisser place à la colère. Selon l’émission on line « Arrêt sur Images », le chef du Gouvernement serbe n’aurait pas vraiment apprécié l’humour potache du show. M. Dacic aurait même réprimandé ses conseillers politiques pour l’avoir laissé tomber dans ce traquenard médiatique. Il aurait fini par « porter plainte après la diffusion sur YouTube de la fausse émission, tout en ajoutant que le code de conduite des journalistes n’avait pas été respecté ».

Oui, mais voilà, l’animatrice au joli minois (et au peu frileux minou) n’est pas une journaliste que viendrait contraindre un quelconque code de conduite. Selon L’Express, Branka Knezevic, 35 ans au compteur, est en réalité un ancien mannequin du Playboy serbe. Interviewée au micro de RTL, elle s’est dite heureuse d’avoir relevé ce « grand défi ». Avant de saluer « la maîtrise dont il [Ivica Dacic] a fait preuve ».

Attention au retour du boomerang mademoiselle Knezevic ! Car, le Gouvernement serbe n’a visiblement pas pu avaler la pilule. « Cela ne va pas rester impuni et toute cette affaire fera l’objet d’une enquête complète. On s’est moqué de la Serbie et non du Premier ministre en abusant de la bonne volonté dont il fait preuve envers la presse », a ainsi menacé le conseiller en charge de la sécurité.

Tout ça pour une (non) petite culotte…


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