NICOLAS SARKOZY SUR TF1 : LE ROI DE LA VICTIMISATION
Après avoir été mis en examen pour « corruption active », « trafic d’influence » et « recel de violation du secret professionnel » dans la nuit du mardi 1er juillet au mercredi 2 juillet, Nicolas Sarkozy s’est exprimé sur TF1 et Europe 1 pour mettre les choses au clair. En face de lui, Jean-Pierre Elkabach et Gilles Bouleau prêts à en découdre.
Dès les premières minutes, Nicolas Sarkozy parle de machination. Il se sent victime d’une « instrumentalisation politique d’une partie de la justice. » Il assure que « tout est fait pour (lui) donner une image qui n’est pas conforme à la vérité. » Nicolas Sarkozy serait donc une pauvre petite victime, on en aurait presque la larme à l’œil. L’ex président de la République ne s’arrête pas là et jure aux Français qu’il est innocent. « Je n’ai jamais trahi leur confiance. Jamais je n’ai commis un acte contraire aux princes Républicains ou à l’état de droit ».
20 min d’interview où Nicolas Sarkozy se victimise et il fait tout pour faire pleurer dans les chaumières. Victime d’une instrumentalisation ? Non ! Comme chaque citoyen, l’ancien chef de l’état doit répondre de ses actes devant la justice.
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