Manuel Valls : le trouble-fête du parti socialiste ?
Manuel Valls ne démord pas. Cité par Europe 1, le premier ministre confirme et assume son revirement social-libéral. Il en profite également pour tacler Claude Bartolone, le président de l’Assemblée.
Manuel Valls s’impose quitte à faire de l’ombre à François Hollande. «Ce n’est pas à moi de faire la synthèse. L’illisibilité, la godille, ça ne marchera pas». Dans ces propos rapportés par Caroline Roux ce lundi sur Europe 1, le premier ministre veut de différencier du président de la République.
Déterminé et confiant, Valls aurait assuré à la journaliste son ambition politique. « Je ne me laisserai pas tirer vers le bas. Je ne me laisserai pas enfermer ».
Manuel Valls en a également profité pour glisser un tacle à Claude Bartolone. « Bartolone il veut la place, mais je ne la lui laisserai pas ». Réponse au récent coup de gueule du président de l’Assemblée Nationale contre Manuel Valls.
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