La production de Dr House trainée en justice !
Carl Jones, ancien assistant de la série à succès Docteur House, licencié en mars dernier, se confie et décrit l’ambiance pénible qu’il a ressenti auprès de l’équipe de tournage.
Docteur House, Greg House ou encore « Docteur Maison ». Autant de petits noms et surnoms que vous avez pris l’habitude de donner au médecin préféré des Français, adulé pour ses côtés cyniques, non conventionnels, ainsi que légèrement torturés. Mais voyez-vous, Docteur House n’a pas l’air de tant se mortifier que ça.
Au contraire, Hugh Laurie, l’interprète du célèbre diagnosticien de l’hôpital Plainsboro, sait combler ses heures perdues entre deux tournages en alliant l’inutile à l’agréable.
Carl Jones, un assistant de la série viré en mars dernier, se vengerait de son licenciement en dévoilant l’ambiance dévergondée des coulisses. « J’ai refusé des virées dans des bars à striptease, de prendre de la drogue et autres conduites dangereuses » confie-t-il. Ses superviseurs l’auraient insulté de divers et nombreux noms d’oiseaux tels que « tapette », « pétasse », « idiot », « attardé », « esclave ». Selon ses dires, des armes auraient même été amenées sur le tournage.
Son congédiement serait justement causé, entre autres, par son refus de suivre ses collègues dans cette ambiance très Rock’n Roll. Jones aurait alors porté plainte et demanderait 1 million d’euros en compensation. La cour suprême de Los Angeles a pris en charge ce dossier qui s’avère plus que salé.
Il faut alors croire que l’homme n’a pas lâché son costume d’acteur et s’est même laissé prendre à son propre jeu de dépravé.
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