« C’est maman qui a tué le père Noël » : réaliste, pessimiste, drôlatique.
Pour les fêtes de fin d’année, trois femmes que tout sépare se réunissent, non sans mal : elles sont fille ,mère et grand mère par hasard. Chacune porte comme elle le peut, ses névroses pas forcément compatibles avec celles des autres .
Cela va bien au delà des conflits de générations, c’est une guerre affective permanente.
Tragi-comique, ce huis-clos nous montre que la famille : c’est sûr, on ne la choisit pas !
Joyeux Noël !
C’est maman qui a tué le père Noël d’Alexandra Varrin, paru aux éditions Léo Scheer.
« « Certaines n’avaient jamais vu la mer ».Brunch Bazar d’avant Noël au Palais de Tokyo -15 et 16 décembre 2012. »