Etudes : que pensez-vous de l’année de césure ?
Dans de nombreux pays, les étudiants ont la possibilité de faire une pause entre la L2 et la L3. En France, les jeunes sont vus comme décrocheurs et doivent justifier ce « trou » dans leur CV.
Il existe différents types de césure : la césure en milieu professionnel, en association, en service civique, à l’étranger…
Animafac a décidé de faire campagne pour que le droit à la césure soit reconnu. Pour eux, il s’agit d’un temps de construction personnelle, qui permet de réfléchir sur soi et sur son parcours.
Afin de rendre la césure accessible à tous les étudiants, sans porter préjudice à leur centre de formation, Animafac a déposé une proposition au ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. La « césure-engagement » serait un moyen de valoriser les expériences associatives et bénévoles des étudiants qui souhaitent faire une pause d’un an dans leurs études. Animafac souhaite que les jeunes conservent leur statut d’étudiants et les avantages associés (sécurité sociale, accès aux BU, BVE, SIO…).
Animafac aimerait que des indicateurs objectifs soient créés afin de mesurer l’impact des césures sur la vie des jeunes.
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